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vendredi 21 février 2020

AMELIE HAUT




J’ai toujours aimé les arts plastiques et j’ai même pensé, il y a très  - très -  longtemps,  en faire mon métier quand je suivais les cours d’une extraordinaire pédagogue qui nous enseignait  l’esthétique positive à l’Ecole moyenne pour jeunes filles de Jumet !  Les hasards de la vie m’ont fait oublier ce projet et m’ont poussée vers la littérature, l’enseignement des langues romanes, la traduction et l’écriture. D’ailleurs, fille d’un père écrivain, critique d’art et peintre assez connu dans notre région, Marcel Defoin, je n’avais pas vraiment envie d’entrer dans le milieu artistique à sa suite !
Je suis donc revenue - très -  tard à la peinture. Ma rencontre, en 2010, avec la peintre Isabelle Ravet lors d’un stage de patine sur bois a été déterminante : la tentation de peindre se réveille. Je me lance dans une bibliothèque en trompe l’œil mais le premier essai est assez peu concluant !
J’attendrai encore une année entière avant de reprendre les pinceaux et de m’inscrire aux cours de l’Atelier Isara pour apprendre, petit à petit. A partir de 2013, je me suis lancée dans des compositions plus personnelles, que je photographie et que je reproduis ensuite en les transformant. Je m’oriente alors de plus en plus vers le trompe-l’oeil, l’hyperréalisme et les compositions en vanité à la façon de la renaissance espagnole. Ce qui m’intéresse surtout c’est la narration, le récit que chacun peut construire à partir de mes toiles.
Et ces toiles, il fallait bien les signer. Après de multiples réflexions, j’ai choisi de signer du nom de mon arrière-grand-mère, Amélie Haut, AmHo !
C’est sous ce nom que j’ai participé depuis 2015 à plusieurs expositions collectives (notamment aux différents SAC Salon artistique de Charleroi), à des parcours d’artistes et à deux expositions individuelles dont la dernière, en janvier 2019, sous le titre « Signes de vie ». A travers mon blog littéraire et artistique, www.lignesetsignes.com je me consacre aussi à informer et à transmettre.
 




CONCETTA MASCIULLO



Belge d’Origine  Italienne.
Son désir de peindre se manifeste très tôt et elle peint depuis des années.
Elle a suivi un cursus à l’Académie des Beaux-arts de Charleroi, Section Peinture et Dessin où elle va encore progresser dans la peinture à l’huile.

Après quelques années académiques à développer l’abstraction Lyrique ou Art informel, elle trouve son style personnel qui n’a cessé de s’affirmer !
Sa technique de la peinture à l’huile mais aussi dans le travail au couteau et la spatule souple. Sa démarche artistique s’inscrit dans une quête plastique.
C’est une plasticienne qui œuvre dans la gestuelle abstraite.  Ses émotions se métamorphosent en un tourbillon lyrique la luminescence des couleurs provoque une vague ondulante illustrant l’antre vibratoire de l’âme humaine.
Quand elle peint, c’est presque dans un état hypnotique la spatule est couteau guidée par ses émotions intérieures et subconscientes !

Elle a exposé dans le monde entier et obtient de nombreux prix et participe à des concours  Peinture - Italie & Belgique,
2015- Académie  Arts & Lettres  international -1er  Prix d’Art Abstrait – Naples (It)
2015- Milan Expo Concours International-  2er Prix – Médaille de bronze- Milan
2016- Concours international  d’Art Abstrait- 1er Prix-  Vieste  Gargano – ( It)
2017- Académie des Beaux-arts  Duma -1er Prix d’Art Abstrait  –Ecaussinnes- (Be)
2018- Concours  d’Arts  international  Palais chancellerie Vatican -  Rome  ( It)
2020- Concours d’Arts international Galerie Angelica bibliothèque – Rome  (It)   





 

STEPHAN MOURMAUX

Peintre, dessinateur, artiste graphique et miniaturiste, né à Charleroi en 1958.

 

Commence à peindre en autodidacte avant de rencontrer, en 1979, Gilberte Dumont et Victor Lefèbvre qui l’initieront aux techniques des Anciens.

 

Deux années plus tard, il interrompt ses études de droit. S’ensuit une période créatrice : il monte des expositions, crée des décors pour un théâtre, collabore à l’écriture de spectacles, lance un magazine et fonde un café-théâtre.

 

En 1985, il se libère peu à peu de ces activités pour préparer une première exposition personnelle. Depuis, il consacre tout son temps à la peinture.

 

Se rapproche du surréalisme et du réalisme magique. Des figures paralysées, des femmes froides, mystérieuses forment des images pétrifiées sur un fond caractérisé par les structures architecturales de murs et de maisons. Une belle maison de briques, à la façade symétrique et majestueuse, revient souvent dans les tableaux de Stéphan Mourmaux. On jurerait la connaître, la croiser souvent, l’avoir vue quelque part – mais où donc ? En région de Charleroi, sans doute. Ce peintre hors mode crée dans la maison de son enfance, dans le centre de Montignies-sur-Sambre, et dit sans honte ni fierté que ses racines carolorégiennes nourrissent son art. (D.Gh., Le Soir, 1994).

(Extrait du PIRON, le dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles © Editions art In Belgium – 2009)

CLAUDINE SELLIER


Décoratrice de formation, j'ai commencé par l'aquarelle. 
L'envie de travailler en trois dimensions m'attire, je m'inscris à un atelier de sculptures en argile et la passion de la terre est née.
Par l'image, je transporte un vécu un chemin telle une symphonie je cherche, observe, exprime, tout se mélange se fixe et se forme la féminité émane très souvent dans mes sculptures.
En outre récemment je découvre la peinture abstraite acrylique qui me transporte dans un monde imaginaire.






 




LUCIEN STOPPELE

Artiste autodidacte, né à Erquelinnes en 1938, Lucien STOPPELE vit et peint à Montignies-sur-Sambre.

Retraité de la sidérurgie, l’homme demeure fasciné, marqué par les visions dantesques qu’offrait une industrie alors florissante :


Je l’ai connue quand elle flamboyait. J’ai vu la Sambre à mes pieds, une rivière où circulaient des milliers de chalands. Quand j’ai commencé à travailler, à l’âge de 14 ans, je n’aurais jamais cru que, plus tard, toutes ces splendeurs et toutes ces émotions nourriraient ma peinture.

L’œuvre de Lucien STOPPELE est, certes, empreinte de nostalgie, mais en consignant sur la toile toutes ces images disparues, l’artiste exprime une volonté : rendre hommage à celles et ceux qui ont fait le Pays Noir.

Co-fondateur du Cercle Terre d’Art, l’artiste a exposé à Charleroi (Palais des Beaux-Arts, Galerie Pictura, Bois du Cazier, Musée du Verre, Université du Travail, …), mais également à Bruxelles, Châtelet, Mettet, Ougrée, Rochefort et Tamines.