AMELIE HAUT
J’ai toujours aimé les arts plastiques et j’ai même
pensé, il y a très - très - longtemps,
en faire mon métier quand je suivais les cours d’une extraordinaire
pédagogue qui nous enseignait
l’esthétique positive à l’Ecole moyenne pour jeunes filles de
Jumet ! Les hasards de la vie m’ont
fait oublier ce projet et m’ont poussée vers la littérature, l’enseignement des
langues romanes, la traduction et l’écriture. D’ailleurs, fille d’un père
écrivain, critique d’art et peintre assez connu dans notre région, Marcel
Defoin, je n’avais pas vraiment envie d’entrer dans le milieu artistique à sa
suite !
Je suis donc revenue - très - tard à la peinture. Ma rencontre, en 2010,
avec la peintre Isabelle Ravet lors d’un stage de patine sur bois a été
déterminante : la tentation de peindre se réveille. Je me lance dans une
bibliothèque en trompe l’œil mais le premier essai est assez peu
concluant !
J’attendrai encore une année entière avant de
reprendre les pinceaux et de m’inscrire aux cours de l’Atelier Isara pour
apprendre, petit à petit. A partir de 2013, je me suis lancée dans des
compositions plus personnelles, que je photographie et que je reproduis ensuite
en les transformant. Je m’oriente alors de plus en plus vers le trompe-l’oeil,
l’hyperréalisme et les compositions en vanité à la façon de la renaissance
espagnole. Ce qui m’intéresse surtout c’est la narration, le récit que chacun
peut construire à partir de mes toiles.
Et ces toiles, il fallait bien les signer.
Après de multiples réflexions, j’ai choisi de signer du nom de mon arrière-grand-mère,
Amélie Haut, AmHo !
C’est sous ce nom que j’ai participé depuis
2015 à plusieurs expositions collectives (notamment aux différents SAC Salon
artistique de Charleroi), à des parcours d’artistes et à deux expositions
individuelles dont la dernière, en janvier 2019, sous le titre « Signes de
vie ». A travers mon blog littéraire et artistique, www.lignesetsignes.com je me consacre
aussi à informer et à transmettre.
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