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samedi 19 janvier 2019

Arnaud Crefcoeur

Arnaud Crefcoeur

Arcofarc photographie l’imaginaire. Il capture dans nos rêves ces images irréelles dont le petit matin nous ramène parfois quelques vagues souvenirs...
Il fait naitre des peintures digitales à partir de photographies, il manipule, déforme, apprivoise et reconstruit la matière digitale jusqu’à obtenir un univers unique qu’il ne contrôle pas tout à
fait….La photo n’est plus mais elle renait.
Pour Arcofarc, chaque création est une aventure graphique dans la quelle le plus difficile est de savoir où s’arrêter et accepter que quelque chose est né...
“C’est une oeuvre qui intrigue, une oeuvre qui nous prend et qui ne nous lâche plus, un mélange de fantastique et de poésie auquel j’ai totalement adhéré” - Michel Ghinet - Artiste peintre.
Arnaud Crefcoeur, dit Arcofarc, est né à Namur. Le virus de l’image coule en lui depuis son plus jeune âge, contaminé par son père photographe. Il manipule ensuite l’image en profondeur au cours de ces études en vidéographie à l’académie des Beaux-Arts de Liège.
 
 
 
 
 


Robert Daout


Robert Daout


Artiste autodidacte depuis une trentaine d'années peinture sur toile le plus souvent abstraite ou cosmique avec la matière acrylique en relief habitant les Ardennes Belge je participe à de nombreuses expos tant en Belgique qu'en France mon atelier est toujours ouvert au public au bois Jacques 5       5560 Houyet après un contact téléphonique au 0473476979 pour être certain que nous sommes présents des cours y sont donnés sur demande aux jeunes et moins jeunes j'ai plusieurs galeries de vente en ligne notamment sur artmajeur ou fineartamerica présent également sur facebook (daout robert) ou sur google (daout robert) ou vous pouvez visionner mes  créations.







Cédric Mayence

Cédric Mayence

Je m’appelle Cédric Mayence, photographe de 38 ans habitant la région de Charleroi. Je fais principalement des photos de paysages urbains, de natures ainsi que des photos dites d’urbex depuis une dizaine d’année. Le mot urbex est la compression de urban et d’exploration.  Cette activité consiste à visiter des endroits abandonnés afin d’y réaliser des photographies.  C’est précisément ce style de photos que je vous présente ici.

J’aime visiter des endroits oubliés pour l’ambiance particulière qui s’en dégage mais aussi parfois pour la place qu’occupent ces lieux dans l’histoire locale.

Mon style photographique pour ce genre d’image est volontairement sombre. J’essaye de refléter un coté inquiétant pour certains ou déprimant pour d’autres que peuvent inspiré ce genre de bâtiment.  J’utilise les techniques apparentées à l’hdr ou au blending d’expositions multiples.

Je réalise essentiellement mes photos lors de mes voyages au travers de road trip en Italie ou en ex-Allemagne de l’est. Mais il m’arrive aussi de visiter des usines que tout le monde a l’habitude de voir en allant travailler sans savoir vraiment ce qui se cache à l’intérieur. Le moins que l’on puisse dire c’est que notre région n’en manque pas.
 
 
 
 

Stéphan Mourmaux

Stéphan Mourmaux




Peintre, dessinateur, artiste graphique et miniaturiste, né à Charleroi en 1958.

 

Commence à peindre en autodidacte avant de rencontrer, en 1979, Gilberte Dumont et Victor Lefèbvre qui l’initieront aux techniques des Anciens.

 

Deux années plus tard, il interrompt ses études de droit. S’ensuit une période créatrice : il monte des expositions, crée des décors pour un théâtre, collabore à l’écriture de spectacles, lance un magazine et fonde un café-théâtre.

 

En 1985, il se libère peu à peu de ces activités pour préparer une première exposition personnelle. Depuis, il consacre tout son temps à la peinture.

 

Se rapproche du surréalisme et du réalisme magique. Des figures paralysées, des femmes froides, mystérieuses forment des images pétrifiées sur un fond caractérisé par les structures architecturales de murs et de maisons. Une belle maison de briques, à la façade symétrique et majestueuse, revient souvent dans les tableaux de Stéphan Mourmaux. On jurerait la connaître, la croiser souvent, l’avoir vue quelque part – mais où donc ? En région de Charleroi, sans doute. Ce peintre hors mode crée dans la maison de son enfance, dans le centre de Montignies-sur-Sambre, et dit sans honte ni fierté que ses racines carolorégiennes nourrissent son art. (D.Gh., Le Soir, 1994).

(Extrait du PIRON, le dictionnaire des artistes plasticiens de Belgique des XIXe et XXe siècles © Editions art In Belgium – 2009)






Lucien Stoppele

Lucien Stoppele




Artiste autodidacte, né à Erquelinnes en 1938, Lucien STOPPELE vit et peint à Montignies-sur-Sambre.

Retraité de la sidérurgie, l’homme demeure fasciné, marqué par les visions dantesques qu’offrait une industrie alors florissante :

 

Je l’ai connue quand elle flamboyait. J’ai vu la Sambre à mes pieds, une rivière où circulaient des milliers de chalands. Quand j’ai commencé à travailler, à l’âge de 14 ans, je n’aurais jamais cru que, plus tard, toutes ces splendeurs et toutes ces émotions nourriraient ma peinture.


L’œuvre de Lucien STOPPELE est, certes, empreinte de nostalgie, mais en consignant sur la toile toutes ces images disparues, l’artiste exprime une volonté : rendre hommage à celles et ceux qui ont fait le Pays Noir.

 

Co-fondateur du Cercle Terre d’Art, l’artiste a exposé à Charleroi (Palais des Beaux-Arts, Galerie Pictura, Bois du Cazier, Musée du Verre, Université du Travail, …), mais également à Bruxelles, Châtelet, Mettet, Ougrée, Rochefort et Tamines. 





Simon Stoppele

Simon Stoppele


Elève, depuis l'âge de quinze ans, à l'atelier BD/Illustration de l'Académie des Beaux-Arts de Châtelet, Simon STOPPELE est également diplômé en infographie de la Haute Ecole Albert Jacquard à Namur.

Il a fait ses premières armes en réalisant des petits recueils d'histoires et d'illustrations pré-publiées sur Internet ou en contribuant à quelques-uns des fanzines de son atelier.

 

Après deux années où il illustre essentiellement des manuels scolaires, il se lance dans la mise en chantier de projets personnels pour le journal de Spirou.

 
Conscient de l'héritage BD plutôt classique qu'il porte en lui, l'univers proposé par Simon est cependant conçu pour être apprécié par un public actuel. Si la douceur, la mélancolie et un peu de maladresse touchante sont prépondérantes, elles savent faire la place à une énergie et à un optimisme certain.